dimanche, décembre 31, 2006

But i think to myself... What a wonderful world!




Je vous souhaite que le désir "ne vous tue pas trop"!

En, 1971 la télévision entrait dans ma vie. Les marchands de rêves s'intalèrent peu à peu dans ma conscience.

En 2007, je tappe ces mots "crus".

samedi, décembre 30, 2006

Vienne, 1905 et Québec 2006


Freud nous apprenait que l'homosexualité était le résultat
de l'inversion (comme processus psychique dans l'inconscient).
Ça arrive quand le père n'est pas "énergique" comme dirait Freud.

C'est la "déviation se rapportant à l'objet sexuel".

Elle se manifeste (en comportement) par;

-les ivertis absolus (ceux dont la sexualité n'a pour objet que des individus apartenant au même sexe)
-les invertis amphigène (Hermaphrotisme psychosexuel)
-les invertis occasionnels (déterminée par les circonstances extérieures)

Au départ, dans l'explication du processus d'inversion originelle, c'était "dégénéré". Puis, on est passé à la "perversion".
À la fin, il parle de "pulsion" que se transforme en "symptôme" dans le corps et en maladie. Oh my god! C'est ici que ça se gâte. Il parle de l'hystérie et des névroses (là où vous êtes pour la plupart).

Ce serait le désir (ce qui nous mène et ce qui nous tue dans la vie) qui forgerait les phantasmes.

Voici ce que la psychanalyse en dit:

"Ainsi on a pu établir, par l'expérience, que ces symptômes sont le substitut de tendances qui puisent leur force dans la pulsion sexuelle elle-même". La psychanalyse peut prouver que c'est l'élément sexuel du conflit qui a provoqué la maladie, en ne permettant pas au processus psychique d'arriver à son terme normal.

Salut à toi très chère maman adorée (maintenant sur le net comme disait mon frère)!

J'ai vraiment l'impression de descendre dans ce grand tunnel noir dont parle Henry Barras...

(M. Barras a beaucoup travaillé dans le domaine de la danse mais c'est pour son oeuvre au théâtre qu'il a été récompensé au gala des masques cette année. C'est aussi un maître des communications par l'écriture. Il a 80 ans et tient un blog où il teste des idées pour le livre sur lequel il travaille (L'art cru). Dans mon imaginaire, c'est comme mon oncle Paul.)

mercredi, décembre 27, 2006

Du froid, de la neige, de la neige, de la neige et un re-doux



C'est le mantra de Marc-André.
(Sur la photo, Michel au Massif dans la "Dominique Maltais")


De la poudreuse à brûler les jambes,
un ciel bleu trois tons,
un soleil au éclairage fabuleux,
-10 degrées celcius,
de la bosse qui prends formes sous nos pieds,
une vue imprenable sur le Fleuve St-Laurent,
la statégie incroyable de Marcou,
c'était une énorme journée de ski aujourd'hui;

Merci la vie.

On s'est penché quelques fois
pour passer sous la ligne orange fluo.
On en est revenu sains et sauf.
(ici vous pensez quelques choses)

J'ai eu quelques moments de grâce,
je m'en suis aperçue quand je souriais aux arbres.

mardi, décembre 26, 2006

THX 1138




Film minimaliste tourné en 1971, le synopsis
- écrit par Lucas -
dépeint une société futuriste et totalitaire,
contrôlée par ordinateur.

Le fantasme de l’homme aliéné par sa machine.
Sortir de la limite et y survivre: très névrotique
comme fantasme.

C'est dans un langage masculin mais,
j'arrive à comprendre par la musique,
la finesse des images
et par son art contemporain minimal.

L'histoire contemporaine nous apprend que
"tout le génie de l'homme concentré dans le design":
disait la machine dans le film.

Moi, je lance l'idée que la découverte du plastique
y est pour quelques chose.

Le plus important;



C'est ce que l'on dit pas.

mercredi, décembre 20, 2006

"Joyeux Noel" lisait-on sur la banderole rouge et or



Papa, maman, Patrice, moi et le père noël.

1976, à l'époque où je voyais déjà les univers qui nous séparaient.
Je me rapelle que j'étais très consciente de la vie
qui ne se dissociait pas de la mort.
Je l'avais remarqué sur les handicapés.
J'avais compris qu'il y avait quelques chose dans le corps qui tuait.

Beaucoup d'amour nous ont réuni.
Un peu de vie nous a tué.

Que se passe-t-il en vous?



Je cherche par tous les moyens possibles
à créer un lieu où l'on peut dire,
écrire, partager des idées
de toutes natures.

Se confronter à la surface vide de la toile et
chercher à y projeter de l'ordre et du sens était, selon Pollock,
une démarche représentative de la crise existentielle de l'homme moderne.

dimanche, décembre 17, 2006

Le théatre, une expérience autre...



« La machine de création exige que l’on aille
au bout de ce qui nous fait peur,
sans le contourner, il faut se mettre en péril soi-même ».

"Chacun de nous porte en lui un monde, un nombre infini de choses"
(Robert Lalondre)

Extrait du blog de Henry Barras

(créateur du théâtre de poche du café des Arts).
Il a un cancer généralisé qui lui gruge le corps.
Il vit par son esprit avec son écriture.
Il va peut-être pointé son nez ici.
À venir: L'Art cru

"Descendre au plus profond de soi et ne s’informer sur l’extérieur
que par les sources de l’art. Seule vérité du temps.
Ce devait être le but de mon dernier voyage.
Le début en tout cas, ne sachant pas, alors, qu’il serait le dernier.
Prendre le chemin était déjà suffisant et le suivre.
Car il m’a changé. Serait-ce ça, le premier mot, la première image,
le premier son ? Ce pas vers ailleurs ? Vers l’autre ?
Car il ne s’agit pas de s’isoler.
Ce ne serait que bâtir une tour d’ivoire.
Se confronter au contraire, à tout ce qui n’est pas soi.
Et, surtout, ne pas s’oublier, s’à-plat-ventrir ou se dénigrer.
Être, c’est déjà vivre.
Et, comprendre l’autre, c’est vivre avec, ensemble.
On en est, certes, loin dans ce monde où
la miséricorde a fait place à la barbarie".

samedi, décembre 16, 2006

La Passion destructrice illustrée



« BAD TIMING est un film malsain conçu par des gens malsains et
s'adressant à des gens malsains. »

Ainsi commença le parcours chaotique de cette troublante incursion
sur la passion amoureuse.

Le script de Yale Udoff propose une peinture vitriolique
comprenant une description presque clinique
d'un cas d'obsession sexuelle,
mettant en scènes deux êtres
aux tempéraments diamétralement opposés.

Une obsession pourtant nourrie par une motivation commune :
la domination.
L'un est de nature introvertie,
muni d'un esprit calculateur et presque cartésien,
tandis que l'autre est de nature extravertie,
d'humeur impulsive et cultivant un goût pour l'hédonisme.

C'est le choc de ces deux personnalités
qui fera que cette liaison amoureuse
prendra presque l'allure d'un duel,
même d'un combat à finir
entre un homme désirant contrôler tous les aspects de son existence et
d'une femme éprise de liberté absolue et à tous les points de vues.

C'est un film de 1981. Je vais probablement l'utiliser pour le GIFRIC.
À regarder avec un certain détachement.

Bougreau à 15 ans.



J'avais perdu conscience quelques secondes
en face de cette immense toile.
Tout juste en haut des escaliers du Musée.
J'étais épuisée par le voyage.
Mon père disait que c'était l'émotion.

Aujourd'hui, je ne sais plus.
Freud dit qu'on se construit ses souvenirs à partir d'objet concret.

Cette toile trônait en haut des escaliers (tiens donc!)
à la feu maison familiale.
J'ai toujours trouvé que l'ange avait un petit quelque chose
qui parlait de mon frère.

mercredi, décembre 13, 2006

Les fameux essais de Freud sur la sexualité (1905), traduits en vietnamien. Nous sommes en 2006.


«Ma chère tante, je ne suis pas sans savoir que,
quand la lumière est enténébrée,
la disparition du monde du visible et de l’audible
où je trouvais les repaires spatio-temporels
bien connus depuis que je les ai découverts
lors du stade du miroir fait apparaître une part
inconnue de moi qui m’effraie.
Alors, jet‘en supplie, parle avec moi».

Sigmund Freud, Vienne.

Petits bonds conscient-inconscient...



Chaque jour passe et je rencontre des gens très bizarres.

Le vécu des uns me donne la chair de poule.
Des êtres torturés par ce qui surgit de leus inconscients.
Des être pris dans une cage,
boulets aux pieds, aux mains,
ils n'y peuvent rien ou si peu.

L'idée que dans l'inconscient se joue les plus grandes batailles me fou la trouille merde!

De mon lieu, j'ai la trouille!!!

dimanche, décembre 10, 2006

BON-BON cérébral




«Si nous approfondissions les manifestations sexuelles de l'enfant,
nous découvririons les traits essentiels de la pulsion sexuelle ;
nous comprendrions l'évolution de cette pulsion et
nous verrions comment elle puise à des sources diverses»

Sigmund Freud
tiré de: Trois essais sur la théorie de la sexualité*

Ce livre va révolutionner la perception occidentale de l'enfance
et de la sexualité en affirmant l'existence d'une sexualité
propre à l'enfance
c'est à dire une sexualité non génitale.

Quand Freud écrit le manuscrit qui deviendra
"Les trois essais sur la théorie de la sexualité",
il rédige aussi, sur une autre table de travail,
le manuscrit du Mot d’esprit et ses rapports avec l’inconscient.

C'est le monde des pulsions, des phantasmes, du retour du refoulé, de l'effraction
qui entre par la grand porte de mon espace de conscience.

Toc! Toc! Toc! "Il y a quelqu'un?"

vendredi, décembre 08, 2006

Le week-end à réfléchir au Gifric



« Il faut que la peinture serve à autre chose qu'à la peinture »
René Magritte.

On réfléchie sur cet Autre scène. Cet espace où se produit quelque chose dont on n'en sais rien.
Que croyez-vous qu'il est arrivé à Catherine?
C'est réel ou imaginaire?

jeudi, décembre 07, 2006

Bordée de neige?



Croyez-vous que la neige rend heureux?

Nous sommes en début décembre et les flocons s'accumulent sur le Massif de la Petite-Rivière St-François. Je vous laisse devinez le nom de la pente ici sur la photo. Quelles sortes d'hivers aurons-nous?

De retour de son expédition ans l'antartique, Jean Lemire disait que la glace ne s'était jamais formé l'hivers dernier. Plusieurs prévoient des tonnes de précipitations pour quelques années suivi d'un genre de sécheresse par la suite. Quelle est votre théorie là-dessus?

Voici le très beau site de l'aventure;
www.sedna.tv/fr/la_mission/science_a_bord.php

lundi, décembre 04, 2006

Jérome Murat



FACE À FACE saisissant!!!! Première contribution audio-visuelle de mon oncle Robert!
Qu'en pensez-vous?

dimanche, décembre 03, 2006

Le temps file à toute vitesse



Vers quoi?

Je pense que dans chacun de nous, il y a toute la complexité de l'humanité toute entière.

samedi, décembre 02, 2006

Modogliani en peinture aussi bon que le film




Modigliani, peintre et sculpteur italien, est né à Livourne (Italie) le 12 juillet 1884. J'ai aimé le film.

Voici un extrait de sa bio:

Inscrit en 1902 à l'Ecole des Beaux-Arts de Florence, il poursuivra sa formation picturale à Venise, un an plus tard.
En 1906, il loue un modeste atelier de peintre à Paris. C'est dans les quartiers de Montparnasse et Montmartre que sa vie et sa peinture vont désormais s'épanouir. D'abord influencé par Toulouse-Lautrec, il s'inspire aussi de Paul Cézanne, du cubisme et de la période bleue de Picasso. Il ne retouche jamais ses tableaux mais ceux qui ont posés pour lui ont dit que c'était comme avoir son âme mise à nu.

Comment l'art pictural agit sur nos vies vous pensez?

Fin du règne de la Machine Bleu



Voilà qui marque la fin de ce vélo pour l'année 2006. Bientôt le ski!
Salutation spéciale à Marcou!
Coucou Serge!
Heille le chef! Reprends-toi! Le ski s'en vient!