samedi, octobre 27, 2007
18 heures passés au gifric depuis 48 heures
Passionnant, dévorant, esseulant, bouillant, surprenant, effrayant, prenant, saisissant...
Quelques mots pour décrire l'expérience.
J'ai vu comment le névrosé, pris dans son fantasme de séduction, tente de réagir dans la scène sociale à ce qui lui arrive et à l'intérieur de lui. Visa le noir, tua le blanc!
Le trou dans l'être, c'est l'objet, le manque à être.
J'ai vu également comment le traumatisme fait effraction (Hallucination ou la voix de l'objet) dans le sujet. C'est ce qui le surdétermine par dessus les conditions neuro-bio-chimique, l'articulation des quatres discours socials (Max weber) et cet espace qui le cause.
Ce qui peut faire basculer l'être humain dans la décision de suivre ce qui va le mener jusqu'au bout (Jouissance-mort) bien au delà des principes de plaisir-réalité, c'est la réponse à l'effraction en regard de l'éthique du sujet.
"Chérie vient voir les canards, tu va voir, c'est vraiment intéressant!"
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