dimanche, octobre 21, 2007
Fernand Pelez
Cette toile vaut la peine d'être vu comme l'ensemble des oeuvres de la salle Paris populaire 1900 actuellement exposé au Musée des Beaux arts du Canada. L'autre salle, celle où il est question de la bourgeoisie m'a ennuyée et même irritée.
Je vous invite à visiter la salle, au rez-de-chaussez, avant de quitter pour y trouver des photographies de l'effet de l'étalement urbain de cette même bourgeoisie (version 2007) aujourd'hui appelée à se construire des chateaux débiles dans les banlieux des villes afin de répondre aux "idéaux" formatés pour faire rouler l'économie.
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